Les dégâts de la Libération, bd Amédée Autran

Métériel de guerre abandonné par les occupants dans le jardin de Mme Servolin, bd Amédée Autran.

Mme Servolin pose devant sa serre et derrière elle, la villa La Garde qui a reçu de nombreux projectiles, car aussi occupée par l’armée allemande.

Le personnel féminin de la Kriegsmarine qui y logeait est évacué pendant les combats ; les libérateurs y font 85 prisonniers allemands ; puis les marocains occupent ces maisons 4 à 5 jours avant de repartir combattre.

Les Allemands ont capitulé, bd Amédée Autran, (bien qu’ayant une salle d’opérations, des vivres et des munitions pour tenir 2 ans), parce que la vie dans la caserne souterraine devenait impossible à cause des nombreux morts et blessés qui s’y accumulaient (le commandant ayant lui-même été blessé)

Au lendemain de la reddition allemande, une horde d’habitants du quartier se précipite dans un bd Amédée Autran jonché de débris de pins dans le but de piller les réserves ennemies; dans un même élan ces citoyens (?) emportent le mobilier des maisons abandonnées par les évacués ; les volets de ces maisons désertées par l’ennemi (vaincu) sont aussi arrachés !

Georges Henri Gimmig dans le livre « La maison assassinée » note :

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