Dossier d’indemnisation pour dommages de guerre Le toit de la maison, 22 rue Rigaud, a été arraché par un obus durant les combats de la Libération : tuiles soufflées, faîtage et cheminée arrachés, plafond de la salle de bain effondré, impacts de tirs sur la façade, vitres brisées…. La correspondance avec les différents services habilités à lui verser des indemnités « pour les dommages matériels et directs causés aux biens par faits de guerre « a conservé la famille Raffin.

La première demande a été faite au Ministère de la Reconstruction pour l’indemnisation le 1er août 1946; le règlement viré par le Crédit National « pour faciliter les réparations dues aux dommages de guerre » ( a été effectif le 7 mai 1951…. soit cinq années de tracas administratifs !
Indemnité de réquisition La demande d’indemnité déposée par Alexandre Albenois a mis plus de temps pour aboutir !

