Les rocailles, fantaisie architecturale née, à la fin du 19° siècle de l’imagination de maçons, italiens pour la plupart, se retrouve dans de nombreuses propriétés sur la Gardie. Elles permettaient à tous de rêver en donnant aux maisons et aux jardins un caractère fantastique. Ainsi apparaissaient sur les façades des tours et des créneaux, de faux troncs soutiennent les terrasses, aux volets en ciment s’accrochent chapeau, morue et nid de guêpe.

Bien entretenues, grand nombre de ces créations fragiles se cachent encore dans les jardins, d’autres n’ont pas survécu à l’usure du temps ou à la bétonisation des propriétés.

Ainsi, protégée par une serre durant plus d’un siècle, ce petit chef d’œuvre en rocaille qui incluait bassin et poissons, a été sacrifié lors de la bétonisation du terrain, tr Pey.

Les piliers de soutien d’une terrasse, imp. Arnaud, sont en rocaille et chacun d’eux reproduit une écorce différente !

Des bancs en faux bois rue du Soleil et bd Véran

Dans le jardin de la villa St Louis se cache une petite construction en rocaille. Dans la tr. Ollivary, une poterie (aujourd’hui disparue) marquait l’entrée de la propriété.

Dans une grande propriété bd bompard, le bassin traditionnel en rocaille est surmonté d’un petit village (Allauch, parait-il…)

Rocailles dans des jardins de Bompard : une rampe datée 1890 et un perron

Des petits objets en trompe-l’oeil : morue et chapeau pendus sur la cabane à outils, rue D Dellepiane; battoir à linge sur un vrai lavoir, imp Nicolas.

Guérite, tr Pey

Le chasseur alpin ch du vallon de l’Oriol; une grosse tête rue de l’École.

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