autres écoles

Villa Gabrielle, 303 Corniche. Le secrétariat d’État à la Jeunesse et Mlle Gravitz, le Service du Travail des Jeunes dirigé par Mr Le Long, la direction de l’Enseignement technique en accord avec la mairie sont à l’origine d’une brève expérience pédagogique (année 1944/45). L’objectif : essayer d’amener à d’autres études, des jeunes filles capables qui auraient dû s’arrêter au C A P . Juliette Racol, qui a toujours habité la colline, participe avec enthousiasme à cette expérience comme professeur de français. Elle raconte :

« La tentation de bains de minuit et la proximité de l’école de navigation (villa Valmer) provoque des escapades nocturnes du côté des internes de la villa Gabrielle et accroît la responsabilité des professeurs de permanence au dortoir. »

Centre Jean Martin, 285 Corniche. Jean Martin, généreux donateur, crée en 1903 dans sa propriété, un sanatorium hélio-marin pour enfants. Légué aux Hospices civils en 1920, l’établissement poursuit cette vocation sanitaire jusqu’en 1977 ; dès 1946, trois institutrices  nommées par l’Inspection Académique (Colette Trésorier-Lucchesi, Huguette Temmen-. Tronville et Christiane Boullevault), assurent la scolarité des enfants et le Dr Mignart qui demeure 158 Bd Bompard leur suivi médical. 
Le bâtiment abrite désormais des services de l’Assistance Publique (Centre hospitalier régional) qui y loge du personnel. 

La création du sanatorium héliomarin n’a pas été bien acceptée par la population endoumoise !

Au décès de Jean Martin (5 juin 1917), sa nièce Virginie Arnaud lègue l’établissement à la Ville de Marseille.

Les Cours Montaigne (maison mère à Perrier) dirigés par P-X Reverchon ouvrent une annexe à l’impasse Sauze en 1958.

Les cours sont assurés par des professeurs permanents (Cartier, Montreynaud, Scalessi, Robillet…) aidés par des intérimaires (Alain Perrière-Isoard intervenant en mathématiques, son épouse Yolande remplaçante en classes primaires).

Le terrain est vendu en 1970, l’école démolie en 1972 pour faire place aux immeubles du Kertad.

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